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À propos

Travaillant depuis 10 ans maintenant dans les nouvelles technologies, et plus particulièrement Internet, j’ai remarqué en cette fin de décennie une tendance qui est a la base de toute les récentes innovation dans les médias sociaux et les nouveaux service en ligne: LE FLUX.

Alors certes rien de bien nouveau les formats RSS, XML et ATOM existent depuis déjà des années mais leurs utilisations au quotidien se démocratisent et deviennent le cœur de certain écosystème (exemple : twitter).

Moi-même, je me surprends à rattacher mes projets web (sites, applications…) sur ces langages à la structuration minimal : site de crise, déploiement de contenu, échange de données, veille de marque ou tendance, workflow et demandes clients entrantes… la liste des applications et les types de traitement sont nombreux.

Dernièrement cette vidéo où Tim Berners Lee (inventeur d’internet) “pronostique” que le WEB 3.0 sera porté sur la maîtrise des données, de leurs connections/relations et donc du FLUX.

La voici:

N’en déplaise à ceux qui pensent ou disent que le WEB 3.0 sera sémantique (capacité des moteurs de recherche à comprendre nos requêtes et attentes), ou encore ceux qui pensent que la démocratisation des outils de géolocalisation sonneront le changement d’ère numérique.

Personnellement je pense que LE FLUX sera la base de la performance des ces évolutions :

  • Les moteurs ont lancé les microformats et maintenant (en 2009) affiche les résultats de Twitter dans leur index, ceci afin de répondre plus rapidement à un demande d’internaute. Quand je dis rapidement c’est qu’à l’origine les moteurs présentaient des pages qu’ils avaient crawlées visitées. Problème : les différences de code et la non structuration demandent aux moteurs beaucoup d’adaptation et de ressources (humaine et technique) : la rigueur structurelle du FLUX est là pour combler cette incompétence.
  • Savoir localiser un internautes est certes une révolution en grande partie provoquée par les succès du GPS et son association aux support mobiles (Iphone, Androïd etc.) mais si on ne sais pas quels services proposer suivant le profil et la disposition de l’internaute, le ROI ne sera pas un modèle du genre. Là aussi les data du FLUX concernant les profils d’internautes (par exemple sur ses réseaux sociaux) pourront être une la solution.

Voilà, savoir diffuser, aggréger, mixer, référencer, mesurer LE FLUX tel est l’axe éditorial que je souhaite donner à ce blog. Et pas seulement via un service on-line (xfruits ou yahoo pipes) mais sur l’ensemble de vos supports (institutionnel, crm, e-business, réseaux sociaux, partenaires ou parties prenantes…).

Je reprendrais quelques bases et bonnes pratiques pour commencer et trouver le rythme (j’écris ces lignes le 29 décembre 2009) puis partirais en recherche d’innovation et de nouveaux traitement, tendances… sans pour autant vouloir être trop technique, mais bel et bien porté sur la réflexion sur le sens du mot FLUX : quelque chose que l’on peut réorienter, détourner, séparer, associer, augmenter la puissance (tel un pouce sur le bout du tuyeau) et couper les vannes. En effet, penser son information en ligne dans le futurs de l’internet – linking, images de marque, gestion du SAV – est aussi un axe très proche de mes réflexions.

Bonne lecture,

Nicolas Laustriat

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